...TITANIC !

En NOIR l'histoire du Titanic

En BLEU la transposition de l'histoire dans nôtre monde actuel

Si on devait illustrer le quinquennat de Nicolas Sarkozy à travers un film, ce serait assurément "Titanic". En effet, le Titanic (la France), était un navire (un pays) réputé fiable et luxueux (vigoureux et agréable à vivre).

A son bord, nous trouvions des 1ères classes (les riches), les secondes classes (les classes moyennes) et les 3èmes classes (les pauvres).

La traversée se passait bien au début, puis le capitaine Smith (le président Sarkozy) décida, sous l'impulsion des concepteurs du bateau (de ses amis les grands patrons et des banksters), d'accélérer les machines (de faire plein de réformes) simplement pour satisfaire l'égocentrisme de ces derniers (pour satisfaire les intérêts économiques de ces derniers). Mais cela allait les mener à leur perte...

En effet, sur leur route se dressa un obstacle de taille : un iceberg (la crise) que le bateau (le pays) percuta de plein fouet et les passagers (les français) furent les premiers à en subir les conséquences. Le veilleur (le Premier Ministre) installé dans le nid de pie (installé à Matignon) n'avait pas réussi à voir l'iceberg à temps (à voir la crise venir) car il avait oublié sa longue vue (car il pratiquait une politique à la petite semaine). Cet accident fut au final la résultante de la vanité (la cupidité) des concepteurs du bateau (des grands patrons et des banksters).

Le navire commença alors à couler (le pays commença alors à vaciller) et on fit d'abord évacuer les femmes et les enfants (on protégea alors en priorité les grosses fortunes et les multinationales) dans des canots de sauvetage (grâce à diverses exonérations fiscales). Le problème, c'est qu'il n'y avait pas assez de canots de sauvetages (d'exonérations fiscales) pour tout le monde. Du coup, ce fut le drame et beaucoup de passagers (de français) durent se résigner à boire la tasse (à payer la note) puisque d'autre avait prit leur place dans les canots (pour compenser les cadeaux fait aux riches). L'orchestre avait beau continuer à jouer sa partition pendant le naufrage (les agences de notations avait beau continuer à faire la pluie et le beau temps), rien ne pouvait empêcher la catastrophe d'avoir lieu (il était trop tard pour compenser la mauvaise gestion du pays).

Les secondes et les troisièmes classes (les pauvres et les classes moyennes) furent ceux qui payèrent leur plus lourd tribut (furent ceux qui durent se serrer le plus la ceinture) dans cette catastrophe (dans cette crise) avec au final, un bilan de plus de 1500 morts (avec au final, 337 000 pauvres supplémentaires en 5 ans).

En résumé, les concepteurs du bateau (les grands patrons et les banksters de la finance) ont forcé le capitaine Smith (ont entrainé le président Sarkozy) à mettre les pleins gaz (à creuser la dette) pour assouvir leurs besoins de reconnaissance (pour augmenter leurs profits) et cela à provoqué la collision avec l'iceberg (et cela a provoqué la crise que nous connaissons). Les passagers (les français) ont du alors se résigner à abandonner leur cabine et leurs effets personnels (à voir les retraites, la sécu et les services publics en général être détricotés à petit feu), pensant vainement que leur salut passerait par là (pensant bêtement que cela était la cause de la dette) puisque les membres d'équipage (les membres du gouvernement) leur avaient dit dans les couloirs du navire (leur avaient fait gober ces sornettes dans les médias).

Bref, le mec à la barre (Sarkozy), sous l'influence des 1ères classes (de ses amis milliardaires) à fait couler le navire. Les secondes et troisièmes classes (les classes moyennes et populaires) ont alors étaient les premiers à payer les pots cassés...

N.B. : Bien sur, j'exagère quand je sous entend que la France est "coulée", il y a pire que nous, nous ne sommes pas les plus à plaindre. Tout ceci n'est qu'une simple métaphore à but satirique.